La Caféine est un alcaloïde stimulant naturellement présent dans le café, le thé, le cacao et d'autres plantes. Utilisée depuis l’Antiquité, elle a été isolée chimiquement au XIXe siècle. Elle agit sur le système nerveux central en bloquant l’adénosine, ce qui augmente la vigilance et réduit la fatigue. Consommée sous forme de boissons ou de médicaments, elle est la substance psychoactive la plus populaire au monde. La Caféine est généralement bien tolérée, mais son abus peut provoquer insomnie, anxiété, tachycardie et dépendance légère. Son rôle dans la vie sociale et culturelle reste majeur, du café du matin aux rituels du thé.

Les effets de la caféine, alcaloïde naturel présent dans le café, le thé, le maté, et diverses boissons énergisantes, sont stimulants. Elle agit comme antagoniste des récepteurs de l’adénosine, neurotransmetteur qui favorise la somnolence, augmentant ainsi la vigilance et réduisant la sensation de fatigue. À dose modérée, les effets de la caféine incluent une amélioration de la concentration, de l’endurance mentale, une légère élévation de l’humeur, et une augmentation du rythme cardiaque. À forte dose, elle peut provoquer nervosité, insomnie, tachycardie, troubles digestifs, et parfois des palpitations ou de l’anxiété. Une consommation chronique conduit à une tolérance : les effets s’atténuent avec le temps et l’arrêt brutal peut induire un sevrage marqué (maux de tête, fatigue, irritabilité, baisse de concentration). La Caféine a également un effet diurétique léger et peut augmenter la pression artérielle temporairement. Les effets apparaissent généralement 15 à 45 minutes après ingestion et peuvent durer de 3 à 6 heures. Bien que globalement sûre à faible dose, la caféine est à consommer avec modération, notamment chez les personnes sensibles ou en cas de pathologies cardiovasculaires.

Les risques liés à la caféine dépendent largement de la dose, de la fréquence d’utilisation et de la sensibilité individuelle. À dose modérée, elle est généralement bien tolérée, mais un excès peut entraîner des effets indésirables notables. Parmi les effets aigus figurent nervosité, insomnie, irritabilité, palpitations, tremblements, et troubles gastro-intestinaux. La Caféine peut également provoquer une augmentation de la tension artérielle et un rythme cardiaque accéléré, ce qui représente un danger chez les personnes souffrant de troubles cardiovasculaires. Une consommation chronique et excessive peut induire une dépendance psychologique, avec un syndrome de sevrage caractérisé par maux de tête, fatigue, troubles de l’humeur et difficulté de concentration. Chez les enfants, les adolescents et les personnes âgées, les effets peuvent être accentués, et une vigilance particulière est recommandée. Associée à d’autres stimulants (dans les boissons énergisantes, par exemple), elle peut aggraver le stress cardiaque et accroître les comportements à risque. Bien que légale et courante, la caféine n’est pas anodine et son usage excessif peut altérer la qualité de vie et entraîner des troubles fonctionnels persistants.

La Caféine, stimulant léger du système nerveux central présent dans le café, le thé, les boissons énergisantes et certains médicaments, présente un potentiel de dépendance modéré. Elle agit en bloquant les récepteurs de l’adénosine, réduisant ainsi la sensation de fatigue et augmentant la vigilance. La dépendance se développe surtout chez les consommateurs réguliers qui en prennent plusieurs fois par jour. Les signes typiques incluent une tolérance progressive (nécessité d’augmenter les doses pour obtenir le même effet), une irritabilité en cas d’absence de consommation, et une incapacité à se passer de caféine sans inconfort. Le sevrage est généralement bénin mais désagréable, avec des maux de tête, une fatigue intense, une baisse de concentration, de l’irritabilité, voire de l’humeur dépressive. Le comportement dépendant se manifeste par une ritualisation des prises (ex. : café au réveil, en réunion, après le déjeuner), un besoin impérieux de consommer pour fonctionner, et une anxiété anticipée si la source de caféine est indisponible. Bien que rarement problématique sur le plan médical, une surconsommation chronique peut entraîner des troubles du sommeil, de l’anxiété ou de la tachycardie. La dépendance à la caféine est socialement tolérée, mais un sevrage progressif peut améliorer la qualité du sommeil et la stabilité de l’humeur.

Lorsqu'une personne est sous l'influence de Caféine, on peut observer divers comportements typiques. Ces comportements incluent des changements soudains d’humeur, des troubles de la perception, une altération du jugement et de la coordination motrice. La personne peut présenter des signes visibles tels qu'une agitation inhabituelle, un ralentissement du discours, des pupilles dilatées ou contractées, ou une somnolence marquée. Selon la substance, elle peut aussi sembler euphorique, anxieuse, paranoïaque, ou désorientée. Certains peuvent avoir des hallucinations, d'autres des comportements compulsifs ou incohérents. Les réactions varient en intensité selon la dose, la tolérance, et le contexte de consommation.

La possession, l’usage, la vente ou la fabrication de Caféine peut entraîner des sanctions pénales importantes selon la législation du pays. Ces sanctions incluent des amendes, une inscription au casier judiciaire, et parfois des peines d’emprisonnement, surtout en cas de récidive ou de trafic. Le niveau de gravité dépend du statut légal de la substance, de la quantité détenue, de l’intention (usage personnel ou trafic), et de la juridiction concernée. Certaines substances peuvent être tolérées ou légalisées dans certains pays à usage thérapeutique ou récréatif (ex. : cannabis), tandis que d'autres restent strictement interdites (ex. : héroïne, crack). Il est essentiel de se renseigner précisément sur la réglementation en vigueur dans son pays ou sa région avant toute manipulation de la substance.

La Caféine peut interagir dangereusement avec d'autres substances, augmentant les risques d'effets indésirables graves. Par exemple, la combinaison avec l’alcool potentialise souvent les effets sédatifs ou dépressifs, ce qui peut mener à des troubles respiratoires, à des pertes de conscience ou à une surdose. Les interactions avec des médicaments psychotropes (benzodiazépines, antidépresseurs, neuroleptiques) peuvent renforcer la sédation, provoquer une désorientation ou aggraver les troubles de l’humeur. L'association avec d'autres drogues illicites peut intensifier l’effet euphorique ou hallucinogène, mais aussi déclencher des crises d’angoisse, des troubles cardiaques ou des comportements imprévisibles. Certaines combinaisons sont particulièrement dangereuses : GHB + alcool, MDMA + ISRS, ou opioïdes + benzodiazépines. Il est fortement déconseillé de mélanger {substance} avec toute autre substance psychoactive sans suivi médical, car les effets peuvent être imprévisibles voire mortels.

La durée d'action de la Caféine varie selon la voie d'administration, la dose et la sensibilité individuelle. En général, les effets durent entre 30 minutes et plusieurs heures. Les substances stimulantes comme les amphétamines ou la cocaïne ont des effets brefs mais intenses (30 min à 2 h), tandis que les opioïdes ou les hallucinogènes peuvent agir plus longtemps (4 à 12 h voire davantage). Les effets résiduels (fatigue, troubles de l’humeur, insomnie) peuvent persister au-delà de l’effet principal. L’accoutumance ou la tolérance peut modifier la perception de cette durée. Pour certaines molécules comme le LSD ou le cannabis, la durée d'action peut excéder 12 heures, en particulier chez les usagers non tolérants.

La détection de la Caféine dépend du type de test utilisé : urinaire, salivaire, sanguin ou capillaire. En règle générale, les tests urinaires permettent une détection plus longue (de quelques jours à plusieurs semaines), alors que les tests salivaires et sanguins ont des fenêtres plus courtes (quelques heures à quelques jours). La durée de positivité dépend de nombreux facteurs : fréquence d’usage, dose, voie d’administration, et métabolisme de l’individu. Par exemple, le cannabis (THC) peut être détecté jusqu’à 70 jours dans les urines chez un usager chronique, tandis que des substances comme le GHB ne sont détectables que pendant 6 à 12 heures. Des sources françaises telles que Drogues Info Service ([drogues-info-service.fr](https://www.drogues-info-service.fr/Tout-savoir-sur-les-drogues/Le-depistage-des-drogues/Tableau-des-durees-de-positivite)) fournissent des tableaux de référence pour chaque substance.