
MDAI
Amphétamines & dérivés - du MDAI
Substance psychoactive synthétique. Effets proches de la MDMA mais plus doux. Utilisée parfois comme substitut. Moins étudiée. Potentiel addictif inconnu. Peu répandue et peu documentée.
Découvrez l'histoire
Le MDAI (5,6-Méthylènedioxy-2-aminoindane) a été développé comme alternative non neurotoxique à la MDMA. Il a suscité l’intérêt des chercheurs pour ses effets empathogènes, bien que ceux-ci soient moins intenses. Contrairement à la MDMA, le MDAI libère peu de dopamine, ce qui pourrait limiter sa toxicité. Il a circulé dans les années 2000 sur les marchés en ligne, souvent vendu comme « legal high ».
Les effets
Les effets du MDAI (5,6-méthylènedioxy-2-aminoindane) sont principalement empathogènes et stimulants, bien que souvent décrits comme plus modérés que ceux de la MDMA. Agissant sur la libération de sérotonine, il provoque une sensation de bien-être, d’apaisement émotionnel et d’euphorie légère. À dose modérée, les effets du MDAI incluent une ouverture sociale, une réduction de l’anxiété, une stimulation mentale et parfois une légère altération sensorielle. Cependant, contrairement à la MDMA, il ne stimule que faiblement la dopamine, ce qui limite l’euphorie et les risques de surstimulation. Consommé à forte dose, il peut entraîner confusion, tachycardie, nausées, insomnie, ou nervosité. Son usage prolongé ou répété peut conduire à une fatigue mentale, des troubles de l’humeur ou une déplétion sérotoninergique. Le MDAI est souvent consommé par voie orale sous forme de poudre ou de gélule, avec des effets qui apparaissent en 30 à 60 minutes et durent environ 4 à 6 heures. Le manque de recherches cliniques rend difficile l’évaluation précise de son profil de sécurité à long terme.
Risques de consommation
Les risques liés au MDAI (5,6-méthylènedioxy-2-aminoindane), substitut de la MDMA, résident dans son action sérotoninergique intense et sa faible documentation clinique. Consommé pour ses effets empathogènes, il peut provoquer des effets secondaires tels que maux de tête, nausées, anxiété, insomnie et élévation de la tension artérielle. Sa toxicité exacte est mal connue, mais des cas de convulsions, d'agitation sévère et de troubles du rythme cardiaque ont été rapportés. Il n’existe pas de dosage standardisé, ce qui accroît les risques d’overdose ou d’effets imprévus. Le MDAI peut provoquer un syndrome sérotoninergique en cas de combinaison avec d’autres substances sérotoninergiques, ce qui peut être grave, voire fatal. La dépendance psychique reste possible en cas d’usage répété, et son statut légal fluctue selon les pays. L’absence d’encadrement médical et la pureté incertaine des produits en circulation augmentent les risques sanitaires.

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Dépendance
Le MDAI (5,6-méthylènedioxy-2-aminoindane) présente un risque modéré de dépendance, essentiellement psychologique. Cette substance est utilisée pour ses effets empathogènes et stimulants, similaires à ceux de la MDMA mais avec une durée et une intensité moindres. La dépendance se manifeste par un usage répété dans des contextes festifs ou de gestion de l’humeur. Bien que la tolérance se développe lentement, certains usagers rapportent une perte de contrôle progressive, une focalisation sur la recherche de l’état euphorique, et une difficulté à s’en passer lors d’activités sociales. Les symptômes de sevrage peuvent inclure une fatigue marquée, un abattement émotionnel, une irritabilité ou un vide affectif, bien que souvent transitoires. Le comportement addictif s’observe dans la répétition des prises sans planification, l’évitement des interactions sans consommation, et l’augmentation progressive des quantités. Le risque de dépendance augmente avec les usages combinés à d’autres substances sérotoninergiques. Un soutien psychologique peut être utile pour identifier les schémas de consommation compulsive et retrouver un usage contrôlé, voire un arrêt durable.
Comportement de consommation
Lorsqu'une personne est sous l'influence de MDAI, on peut observer divers comportements typiques. Ces comportements incluent des changements soudains d’humeur, des troubles de la perception, une altération du jugement et de la coordination motrice. La personne peut présenter des signes visibles tels qu'une agitation inhabituelle, un ralentissement du discours, des pupilles dilatées ou contractées, ou une somnolence marquée. Selon la substance, elle peut aussi sembler euphorique, anxieuse, paranoïaque, ou désorientée. Certains peuvent avoir des hallucinations, d'autres des comportements compulsifs ou incohérents. Les réactions varient en intensité selon la dose, la tolérance, et le contexte de consommation.
Risques pénaux
La possession, l’usage, la vente ou la fabrication de MDAI peut entraîner des sanctions pénales importantes selon la législation du pays. Ces sanctions incluent des amendes, une inscription au casier judiciaire, et parfois des peines d’emprisonnement, surtout en cas de récidive ou de trafic. Le niveau de gravité dépend du statut légal de la substance, de la quantité détenue, de l’intention (usage personnel ou trafic), et de la juridiction concernée. Certaines substances peuvent être tolérées ou légalisées dans certains pays à usage thérapeutique ou récréatif (ex. : cannabis), tandis que d'autres restent strictement interdites (ex. : héroïne, crack). Il est essentiel de se renseigner précisément sur la réglementation en vigueur dans son pays ou sa région avant toute manipulation de la substance.
Intéractions
Le MDAI peut interagir dangereusement avec d'autres substances, augmentant les risques d'effets indésirables graves. Par exemple, la combinaison avec l’alcool potentialise souvent les effets sédatifs ou dépressifs, ce qui peut mener à des troubles respiratoires, à des pertes de conscience ou à une surdose. Les interactions avec des médicaments psychotropes (benzodiazépines, antidépresseurs, neuroleptiques) peuvent renforcer la sédation, provoquer une désorientation ou aggraver les troubles de l’humeur. L'association avec d'autres drogues illicites peut intensifier l’effet euphorique ou hallucinogène, mais aussi déclencher des crises d’angoisse, des troubles cardiaques ou des comportements imprévisibles. Certaines combinaisons sont particulièrement dangereuses : GHB + alcool, MDMA + ISRS, ou opioïdes + benzodiazépines. Il est fortement déconseillé de mélanger {substance} avec toute autre substance psychoactive sans suivi médical, car les effets peuvent être imprévisibles voire mortels.
Durée d'action
La durée d'action du MDAI varie selon la voie d'administration, la dose et la sensibilité individuelle. En général, les effets durent entre 30 minutes et plusieurs heures. Les substances stimulantes comme les amphétamines ou la cocaïne ont des effets brefs mais intenses (30 min à 2 h), tandis que les opioïdes ou les hallucinogènes peuvent agir plus longtemps (4 à 12 h voire davantage). Les effets résiduels (fatigue, troubles de l’humeur, insomnie) peuvent persister au-delà de l’effet principal. L’accoutumance ou la tolérance peut modifier la perception de cette durée. Pour certaines molécules comme le LSD ou le cannabis, la durée d'action peut excéder 12 heures, en particulier chez les usagers non tolérants.
Dépistage
La détection du MDAI dépend du type de test utilisé : urinaire, salivaire, sanguin ou capillaire. En règle générale, les tests urinaires permettent une détection plus longue (de quelques jours à plusieurs semaines), alors que les tests salivaires et sanguins ont des fenêtres plus courtes (quelques heures à quelques jours). La durée de positivité dépend de nombreux facteurs : fréquence d’usage, dose, voie d’administration, et métabolisme de l’individu. Par exemple, le cannabis (THC) peut être détecté jusqu’à 70 jours dans les urines chez un usager chronique, tandis que des substances comme le GHB ne sont détectables que pendant 6 à 12 heures. Des sources françaises telles que Drogues Info Service ([drogues-info-service.fr](https://www.drogues-info-service.fr/Tout-savoir-sur-les-drogues/Le-depistage-des-drogues/Tableau-des-durees-de-positivite)) fournissent des tableaux de référence pour chaque substance.
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FAQ : Tout savoir sur le MDAI

Quels sont les effets du MDAI ?
Le MDAI provoque des effets variés selon les doses, la voie d'administration, la tolérance individuelle et le contexte. Ces effets peuvent inclure des modifications de l'humeur, de la perception sensorielle, des capacités cognitives, ou du comportement moteur. Certains provoquent de l'euphorie ou un effet stimulant, d'autres des effets calmants ou dissociatifs. Dans certains cas, des effets indésirables tels que l’anxiété, la confusion, ou les hallucinations peuvent survenir.
Le MDAI est-il légal ?
La légalité du MDAI varie selon les pays. Dans certains États, elle peut être autorisée à des fins médicales, voire récréatives, alors qu’elle demeure strictement interdite ailleurs. Il est essentiel de consulter les lois locales ou nationales en vigueur pour connaître son statut légal précis.
Quels sont les risques pour la santé associés au MDAI ?
L’usage du MDAI peut entraîner des risques pour la santé, à court ou à long terme. Ces risques incluent des troubles mentaux (anxiété, paranoïa, dépression), des problèmes physiques (cardiovasculaires, hépatiques, neurologiques), ou des comportements à risque. Les effets secondaires sont souvent dose-dépendants et amplifiés en cas de consommation chronique ou combinée avec d'autres substances.
Le MDAI provoque-t-il une dépendance ?
Le MDAI peut provoquer une dépendance, selon son action sur le cerveau, en particulier sur les systèmes dopaminergiques ou opioïdes. La dépendance peut être physique (avec un sevrage difficile), psychologique (besoin de consommer pour fonctionner), ou comportementale (prise compulsive). Le niveau de dépendance dépend du produit, de la fréquence de consommation, et des facteurs individuels.
Comment détecte-t-on la consommation de MDAI ?
La détection de MDAI dans l’organisme peut se faire via différents tests : urinaire, salivaire, sanguin ou capillaire. La durée de détection dépend de la demi-vie de la molécule, du métabolisme de l’usager, de la quantité consommée, et du type de test utilisé. Certaines substances restent détectables plusieurs jours, voire semaines après la prise.
Quelle est la durée d'action du MDAI dans l'organisme ?
La durée d’action du MDAI varie selon la voie d’administration (orale, nasale, intraveineuse…), la dose et les caractéristiques physiologiques de l’usager. Elle peut aller de quelques minutes à plusieurs heures. Les effets résiduels (fatigue, anxiété, trouble de concentration) peuvent parfois durer plus longtemps que l’effet principal de la substance.